Les dangers des médicaments antidiabétiques…

 

La metformine est un traitement antidiabétique efficace et bien toléré commercialisé sous les noms de (Glucophage, STAGID, …etc) ;  mais associé à une complication potentiellement fatale : la MALA (metformin-associated lactic acidosis) ; Cependant, par un mécanisme d’inhibition de la respiration mitochondriale encore mal connu, la molécule pourrait favoriser le développement d’une acidose lactique, en cas d’utilisation à long cour ou overdose.

Les indications de la melformine :

  • exerce une action hypoglycémiante en réduisant l’insulino-résistance, et via plusieurs mécanismes.
  • augmente l’utilisation du glucose et son stockage dans le muscle,
  • réduit la néoglucogenèse hépatique.
  • diminue l’absorption du glucose dans l’intestin.

Note : attention ; La molécule exerce également un effet sur le métabolisme des lipides en favorisant l’oxydation des acides gras et en réduisant la lipogenèse (Production de corps gras dans l’organisme). Ces actions sont le reflet d’une cascade d’effets cellulaires complexes (non résolus à ce jour), c’est l’inhibition partielle de la  respiratoire mitochondriale (cellule).c’est à dire les cellules reçoivent moins d’oxygène pour bien fonctionner.

Qu’est ce que c’est l’acidose lactique ?

L’acidose lactique est un trouble de l’équilibre acido-basique du corps (acidose) due à un excès d’acide lactique.

 

L’acidose lactique est définie par un pH < 7,38.

 

Les symptômes de l’acidose lactique sont :

Des vomissements, des maux de ventre (douleurs abdominales) avec crampes musculaires, une sensation de mal-être général avec une fatigue intense et des difficultés à respirer et diminution de la température corporelle et du rythme cardiaque.

 

L’acide lactique est une substance produite par les globules rouges, les cellules musculaires et celles de la peau, ainsi que par les reins.

Il est produit naturellement par le corps pendant l’effort physique et en disparaît une heure après. On en trouve également dans les produits laitiers, le vin, les fruits et légumes.

 

Remarque : Le risque de développer une acidose lactique augmente également en cas de diabète mal contrôlé, d’infections graves, de jeûne prolongé ou de consommation d’alcool, de déshydratation, de problèmes au foie et toutes autres affections médicales pour lesquelles une partie du corps reçoit un apport réduit en oxygène (les maladies cardiaques aiguës sévères, par exemple).

 

Les valeurs normales d’acide lactique dans le sang veineux sont comprises entre 4,5 et 19,8 mg/dl.

 En-dessous : ce peut être le signe que l’organisme manque d’oxygène.

Au-dessus : ce peut être le signe de maladies comme une insuffisance respiratoire, rénale ou ventriculaire, un diabète, une leucémie

Comment éliminer l’acide lactique ?

Le mieux est de réduire l’effort mais sans l’arrêter complètement afin de stimuler la circulation sanguine et favoriser l’élimination des déchets. Il faut donc privilégier les activités physiques douces comme les étirements, le vélo, la marche à pieds… durant 20 à 30 minutes.

Les aliments à éviter: La viande en excès, les céréales raffinées, l’alcool, les oranges et les prunes, les bananes trop mûres, les pruneaux, l’artichaut, le chou de Bruxelles, l’asperge, le poireau, la crème fraiche, le lait de vache, les épices, les condiments, les pâtisseries, le sucre.

 Attention : Les causes d’acidose lactique sont multiples, incluant :

  • Affections génétiques
  • Médicaments tels que :
  • Laphenformine(antibiabétique) a été retirée du marché en 1976, à la suite de plusieurs cas d’acidose lactique fatale et de travaux suggérant un risque augmenté de décès.
  • Metformine: antidiabétique
  • Isoniazide: antibiotique (tuberculose).
  • NucléosideINTI : traitement du VIH
  • Cyanure de potassium(Intoxication au cyanure)
  • Paracétamolà doses massives (habituellement plus de 40 g) : antidouleur, anti- fièvre.
  • Et autres :

 

NB : En cas d’absence de traitement, l’acidose lactique évolue vers des troubles de la conscience (coma possible) et des défaillances viscérales qui font toute la gravité de ce trouble: collapsus puis état de choc, insuffisance rénale ou hépatique, troubles de la coagulation, épuisement respiratoire.

*découvrez les Symptômes de l’acidose prolongée sur :

https://www.medecine-anti-age.com/terrain-acide/symptomes-acidite

Amicalement à vous !

Mustapha.L

 

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  • « posologies des plantes médicinales d’Algérie» (deuxième partie) ; 188 pages, 43 plantes.
  • Les plantes médicinales du Sahara ; 328 pages, 105 plantes.

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Hypertension : prenez-vous un médicament pour rien ?



Chère lectrice, Cher lecteur,

Si vous souffrez d’hypertension, vous prenez peut-être des médicaments… pour rien. La nouvelle est tombée en décembre dernier dans le journal Prescrire, une revue médicale totalement indépendante des lobbies pharmaceutiques et des agences de santé.


L’article a eu l’effet d’une bombe : il révèle, preuves à l’appui, que ces médicaments ne seraient pas justifiés chez toutes les personnes hypertendues. Dans une importante étude de cohorte, des chercheurs anglais ont suivi 38 286 personnes pendant plus de 6 ans. Le but était de vérifier l’efficacité des médicaments hypotenseurs. En comparant les personnes qui prenaient des médicaments et ceux qui n’en prenaient pas, les scientifiques ont eu une immense surprise.


Quand la tension est inférieure à 160/100 mm HG, prendre des médicaments ne réduit pas les risques de mortalité, maladies cardiovasculaires, infarctus, AVC, insuffisance cardiaque… Pire encore, les médicaments contre l’hypertension augmenteraient les risques d’insuffisances rénales aiguës, hypotensions et syncopes. Le rapport bénéfices-risques serait donc négatif. Si votre tension est inférieure à 160/100 mm HG et que vous ne présentez pas de facteurs de risque,
 
la prise de médicaments hypotenseurs serait donc déconseillée.

Cela ne veut pas dire qu’il faut négliger votre problème de tension (vous verrez plus bas qu’il existe des alternatives). Mais les médicaments pourraient, au lieu de vous soigner, 

vous rendre plus malade que vous ne l’êtes déjà. Voici ce que vous risquez si vous prenez  des médicaments contre l’hypertension Pour « traiter » l’hypertension artérielle, il existe différentes classes de médicaments qui présentent tous des effets (très) indésirables :

Les diurétiques diminuent le volume de votre sang mais vous exposent à des carences minérales (les minéraux partent dans les urines) notamment de magnésium, de potassium et de calcium qui sont tous les trois des régulateurs de la tension artérielle !

Les bêtabloquantsralentissent l’activité de votre système nerveux sympathique et donc de votre cœur mais peut provoquer des vertiges, de la fatigue, un refroidissement des extrémités et même des cauchemars ou une dépression !

Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion agissent sur les hormones rénales qui régulent la tension mais peuvent altérer les reins et sont toxiques pour le foie. Etc.

Tous ces traitements risquent donc, soit d’aggraver votre problème de tension, soit de vous créer de nouveaux troubles de santé. Au mieux, ils baisseront provisoirement votre tension mais en aucun cas ils ne guériront votre problème. Ils ne s’attaquent pas à la cause et ne font que masquer le symptôme. C’est d’autant plus regrettable lorsqu’on sait que 30 % des personnes ne répondent pas favorablement aux traitements de l’hypertension ! Le problème, c’est qu’une hypertension mal traitée peut conduire à de graves problèmes de santé. Perte de vue, crise cardiaque, AVC…

Une tension trop élevée met en danger la vie elle-même. Elle fragilise le cœur et les artères et peut mener à des catastrophes. Une artère qui fissure ou se bouche au mauvais endroit et c’est la crise cardiaque ou l’AVC (accident vasculaire cérébral) Vous peinez au moindre effort, votre cœur se fatigue.

C’est peut-être un signe d’insuffisance cardiaque, une des conséquences de l’hypertension De petits vaisseaux cèdent au niveau des yeux et votre vision est altérée, ce qui peut mener à la cécité Les artères de vos jambes se rétrécissent à cause de la pression sanguine toujours trop forte.

Elles se bouchent plus facilement : c’est l’artérite des membres inférieurs Des vaisseaux éclatent au niveau des reins ce qui peut entraîner une insuffisance rénale

Je ne cherche pas à vous faire peur, j’aimerais juste que vous preniez conscience que l’hypertension est un problème sérieux. Il est très important pour vous de retrouver aussi vite que possible une pression artérielle stable.

Mais encore faut-il savoir à combien se situe vraiment votre tension ? Connaissez-vous vraiment votre tension (attention, il y a un piège) ?

Vous connaissez sans doute le fameux effet blouse blanche. Votre médecin mesure votre tension : elle est haute. Mais dès que vous sortez de son cabinet et le reste de la journée, elle redevient normale. Ce phénomène bien connu est causé par le stress que vous pouvez ressentir face à votre médecin.

Mais il existe aussi le phénomène inverse ! Vous êtes hypertendu, mais quand vous arrivez chez votre médecin, votre pression redescend mystérieusement. C’est ce qu’on appelle lhypertension masquée.

Elle toucherait environ 15 % des patients qui ne présentent pas de tension excessive en cabinet. À cause de l’hypertension masquée et l’effet blouse blanche  la maladie est très mal diagnostiquée. Et les erreurs de diagnostic se font dans un sens comme dans l’autre.
Le meilleur moyen pour connaître votre « vraie » tension

La Société française de cardiologie conseille de faire vérifier sa tension par un médecin au moins une fois par an à partir de 40 ans. Mais nous l’avons vu, votre médecin peut facilement passer à côté de votre hypertension. Il est donc crucial pour vous de savoir mesurer correctement votre tension. Première chose, si vous disposez d’un appareil de mesure chez vous, il faut vous assurer qu’il s’agit bien d’un appareil agréé.
Exemple d’un tensiomètre personnel Ensuite, prenez votre tension à différents moments de la journée, assis puis couché, plusieurs jours dans la semaine et calculez une moyenne.

Si votre tension est supérieure à 120 mm HG (millimètres de mercure) de pression systolique et 80 mm HG de pression diastolique (soit 12/8), il est possible que vous souffriez de pré-hypertension voire d’hypertension (à partir de 14/9).

Bien entendu, seul le médecin est apte à poser un diagnostic. Mais c’est à vous de vous assurer qu’il prend le problème au sérieux en effectuant les mesures adéquates. Voici ce qu’il devrait faire : Prendre au minimum deux mesures par consultation au cours de trois consultations successives sur une période de trois à six mois, soit six mesures en tout.

C’est le protocole que la Haute autorité de santé (HAS) recommande Votre médecin pourra aussi vous proposer la pose d’un Holter tensionnel appelé aussi MAPA (mesure ambulatoire de la pression artérielle). Cet appareil relèvera votre tension régulièrement sur 24 heures. Votre hypertension n’est pas la même que celle de votre voisin ! Dans 5 à 10 % des cas, l’hypertension est secondaire, c’est-à-dire conséquente à une maladie des reins, des surrénales, de la thyroïde ou à un diabète.

Mais chez 9 personnes sur 10, l’hypertension est dite essentielle. La tension excessive n’est donc pas due à une maladie mais à quelque chose qui fonctionne mal dans votre corps.

Il y a toutes les chances pour que ce dysfonctionnement soit la conséquence de votre mode de vie : perte d’élasticité des artères rétrécissement du passage du sang dans les artères (dû à des plaques d’athéromes) vasoconstriction due à un stress chronique alimentation inadaptée manque d’activité physique facteurs de risque comme le fait de fumer ou de boire de l’alcool prise de médicaments ou de la présence de métaux lourds dans votre corps …

Lettre de Jean-Marc Dupuis.

Amicalement à vous !

Mustapha

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Lactofibre® ?…un complément !

Ce complément alimentaire est la publicité souvent répété sur notre petit écran.

Mais quels sont les bienfaits et les effets secondaires de ce complément ?

Qu’est ce que c’est ?

Lactofibre® est une association unique de deux laxatifs de deux classes différentes: 
– Les fibres (la Gum de Guar) qui est un laxatif de lest. 
– Le lactitol qui est un laxatif osmotique.

Laxatifs osmotiques : Non absorbés, ils retiennent l’eau et les électrolytes dans le côlon. Ils agissent en un à deux jours.

Le lactitol (E 966) est un polyol très peu fréquemment utilisé comme édulcorant artificiel (E966) et comme laxatif.

Son pouvoir sucrant est 0,3-0,4 fois celui du sucre à poids égal. N’existant pas à l’état naturel, il ne peut être obtenu qu’à partir du lactose (« sucre de lait ») ; c’est-à-dire un produit de synthèse.

Les bienfaits de Lactofibre® :

  • un laxatif : contre la constipation
  •  régulateur du transit.
  • Traite les coliques : douleurs digestives.
  • Soulage les gazes.

Les principaux effets indésirables à forte dose sont :

-des douleurs abdominales et des ballonnements intestinaux.

E 966 : Édulcorant artificiel, Risques de troubles digestifs, diarrhées.

– Les laxatifs finissent par constiper.

Bon à savoir :

  • La prise de laxatifs en quantité importante et régulière (à long court) aboutit à une perte d’eau et de sels minéraux, en particulier de potassium. On risque alors une déshydratation entraînant chutes de tension, fatigue, vertiges et syncopes, ainsi que des problèmes cardiaques, s’avérant parfois mortels.
  • Une déshydratation sévère peut provoquer des tremblements, une faiblesse, une vision floue, des évanouissements, des lésions rénales et, dans les cas extrêmes, la mort. La déshydratation nécessite souvent un traitement médical.
  • Des dommages aux organes internes peuvent en résulter, y compris un côlon étiré ou «paresseux», une infection du côlon, un syndrome du côlon irritable et, rarement, des lésions hépatiques. L’abus chronique de laxatifs peut contribuer au risque de cancer du côlon

Son Prix en Algérie est : 1230 DA .

Témoignages :

-Il est trop cher et pas efficace en même temps

c de la pub mensongère et personne ne dit rien. Et c la même chose pour charbonel plus.

Amicalement à vous !

Mustapha.L

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Les pires maladies peuvent s’attraper… à l’hôpital

 On les appelle « infections nosocomiales ». Un terme scientifique qui cache une cruelle réalité : les maladies qu’on attrape à l’hôpital. 

Il ne faut pas oublier que c’est à l’hôpital qu’on trouve la plus forte concentration de malades en tout genre. Autant dire que c’est un véritable nid à microbes

Mais le pire, c’est que l’hôpital est un milieu tellement aseptisé que les bactéries qui survivent deviennent extrêmement résistantes. À tel point que les antibiotiques deviennent souvent totalement inefficaces. 

Et les médecins les plus expérimentés ne savent pas soigner ces infections. 

Selon un rapport de l’assemblée nationale de 2006, 9000 français meurent chaque année d’une infection survenue durant un séjour à l’hôpital. 

Imaginez : vous vous rendez aux urgences pour une simple facture. Rien de très grave. On vous opère. Et vous ressortez avec une infection terrible, incurable…

Car c’est triste à dire, mais ce genre d’infection peut arriver à tout le monde. Un bref séjour à l’hôpital et l’enfer peut commencer…

Quels sont les symptômes d’une infection nosocomiale ?

Elle se traduit par des accès de fièvre élevée alternant avec des périodes d’hypothermie, des frissons, des sueurs, une tachycardie, une fréquence respiratoire élevée…

Infos :

Les infections nosocomiales touchent par an près d’un million de Français. Dans les établissements de santé, ce fléau fait peur.

Dix mille décès par année liés aux infections nosocomiales (IN) en France ? Cinquante mille décès attribués aux bactériémies chaque année aux Etats-Unis.

– La pneumonie est l’infection nosocomiale la plus fréquente en réanimation.

Mais qu’est ce qui en est dans les hôpitaux en Algérie ?

Amicalement à vous !

Mustapha

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Zoom sur les médicaments anti-inflammatoires !

Traitement anti-inflammatoire

Le but du traitement de l’inflammation est de réduire les effets indésirables comme la douleur sans modifier les effets bénéfiques de réparation. Les anti-inflammatoires ne traitent pas la cause de la maladie mais ses effets indésirables.

Il existe de types d’anti-inflammatoires (corticoïdes) :

  1. Les Anti-inflammatoires stéroïdiens.
  2. Les Anti-inflammatoires non stéroïdiens.

1. Les anti-inflammatoires stéroïdiens (SAIDs), également appelés corticostéroïdes ou glucocorticoïdes sont des dérivés synthétiques.

 Les bienfaits des anti-inflammatoires synthétiques :

Les corticostéroïdes améliorent le pronostic vital et fonctionnel de nombreuses maladies mais n’agissent pas sur la cause de la maladie (Janeway et al., 2009).       

Les anti-inflammatoires stéroïdiens sont très prescrites dans plusieurs maladies :

  • en cas d’inflammation importante, en particulier en cas de maladies chroniques telles qu’une polyarthrite rhumatoïde.
  • certaines allergies graves.
  • Certains Maladies auto-immunes.
  • d’une greffe d’organe.
  • En chimiothérapie.
  • …Et bien d’autres.

Les risques des corticoïdes de synthèse (effets secondaires):

Les anti-inflammatoires stéroïdiens sont efficaces, mais ne sont pas dénués d’effets secondaires. Les principaux sont :

  • des réactions cutanées comme une peau qui peau peut se fragiliser avec l’apparition de vergetures, d’une sécheresse de la peau, de difficultés pour cicatriser.
  •  une prise de poids.
  •  risque plus élevé d’infections, du fait de la diminution de l’immunité.
  •  des troubles de la vision (voire une cataracte après une prise au long cours pendant plusieurs mois ou années).
  •  l’apparition ou l’aggravation d’un état diabétique de type 2.
  •  des troubles digestifs (ulcères).
  •  l’apparition ou l’augmentation d’une hypertension artérielle.
  •  une fragilisation des os (ostéoporose).( perte osseuse)
  •  des décompensations psychiatriques (hyperexcitation puis dépression),
  •  peuvent favoriser l’apparition de la stéatose hépatique non alcoolique.
  • etc.

En raison des violentes réactions que peuvent entraîner les anti-inflammatoires stéroïdiens, ils doivent être prescrits par un médecin.

2. Les Anti-inflammatoires non stéroïdiens (NSAIDs) appartiennent à diverses catégories de molécules, aux propriétés anti-inflammatoires, antalgiques et antipyrétiques.

Effets indésirables des anti-inflammatoires Ce sont des complications qui peuvent survenir lors de la prise du médicament, sachant que les effets secondaires induits varient selon les individus.

Lors de la prise de NSAIDs, les effets ont été signalés :

  • Des troubles digestifs : nausées, gastralgies, vomissements, diarrhée, hémorragie digestive. plus rarement un ulcère gastroduodénal, perforation et hémorragie digestive, colites, rectites.
  • Des phénomènes allergiques : prurit, éruptions cutanées, œdème de Quincke, crise d’asthme.
  •  des troubles neuropsychiques : vertiges, céphalées, acouphènes, asthénie.
  •  Des troubles diverses : œdèmes, hypertension artérielle (HTA), élévation des transaminases,· syndrome néphrotique.

Les anti-inflammatoires d’origine végétale.

 L’incorporation et l’utilisation des plantes médicinales dans le traitement de plusieurs réactions inflammatoires, en particulier le rhumatisme, sont des pratiques communes dans la médicine traditionnelle.

 Aujourd’hui c’est un fait remarquable que les substances anti-inflammatoires d’origine végétale présentent un intérêt grandissant car elles offrent des avantages par rapport aux anti-inflammatoires classiques, comme par exemple l’absence d’effets secondaires. Parmi les espèces végétales utilisées en médicine traditionnelles et récemment étudiées nous trouvons les plantes suivantes :

Certaines plantes médicinales douées d’activités anti-inflammatoires (Barnes, 1998).

– Rhizome Gingembre : arthrose, migraine, douleurs rhumatismales

– Racines Lenten-rose (Helleborus orientalis) : Œdèmes, douleurs rhumatismales

-ortie (Urtica dioica) Feuilles, Racines Ortie : Rhinite allergique, eczéma goutte, douleurs rhumatismales

Curcuma longa : Douleurs rhumatismales, lupus systémique, psoriasis, infections rénales

– Laurier rose (Nerium oleander L) Fleurs : Douleurs, maux de tête

-Harpagophytum procumbens Tubercule : arthrose

Griffe du diable : Arthrose, lombalgie, névralgie, maux de tête, fièvre.

-(Rhododendron ponticum L) Feuilles : Œdèmes, états grippaux, mal de dents

– Noyer commun (Juglans regia L.) Feuilles, fruits : Douleurs rhumatismales, fièvre, eczéma.

– Onagre bisannuelle (Oenothera biennis) Graines : Douleurs rhumatismales.

Amicalement à vous !

Mustapha. L

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  • « posologies des plantes médicinales d’Algérie » (première partie) ; 210 pages, 41 plantes.
  • « posologies des plantes médicinales d’Algérie » (deuxième partie) ; 188 pages, 43 plantes.
  • Les plantes médicinales du Sahara ; 328 pages, 105 plantes.

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Mustapha Laouedj   Conseiller en phytothérapie et herboriste.   Consultation gratuite sur rendez-vous au :   Tél : 213. (0)550.30.65.42   Adresse : Hadjout-Tipaza- Algérie A côté de l’ex Daïra et APC de Hadjout.   Tipasa334@gmail.com   https://lesecretdusahara.blogspot.com/  

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Les dangers du surpoids et l’obésité !

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  1. Top bien-être:

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Selon une grande étude qui vient d’être publiée par « Public Health England », l’agence chargée de la santé publique, et l’université d’Oxford, 80 % des Anglais d’âge moyen (40-60 ans) sont « en surpoids, inactifs ou alcooliques ».

En cause, le poids des soucis liés aux enfants, à leurs parents âgés ou à leur travail.

Ils sont 83 % à avoir de mauvaises habitudes de vie. Cela concerne 77 % des hommes et 63 % des femmes qui sont en surpoids, et un tiers de cette population est classée comme obèse !

« Ces gens d’âge moyen sont plus absorbés par leurs soucis quotidiens que prendre soin de leur santé est devenue la dernière de leurs priorités », explique le professeur Kevin Fenton, directeur de l’étude.

Beaucoup sont en manque de sommeil et ont tendance à compenser par la nourriture et par l’alcool.

Le nombre de personnes obèses entre 40 et 60 ans a augmenté de 50 % par rapport à 1996. Le travail de bureau, immobile derrière un ordinateur, s’est imposé à la plus grande partie de la population.

C’est une catastrophe pour le pays. Il faut absolument qu’ils se réveillent. Quant aux autres peuples, ils ne doivent surtout pas suivre leur exemple.

 

Mais, les français sont aussi, sur la mauvaise pente, question obésité.

Certes, les Anglais, mal influencés sans doute par les Américains, représentent la population la plus obèse d’Europe.

Mais dans tous les pays, le nombre de personnes en surpoids a beaucoup augmenté.

Selon une étude publiée le mardi 25 octobre 2016 dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire, un Français sur deux est « trop gras et/ou trop gros ».

Ce nombre a été multiplié par huit par rapport à 1980, où seuls 6,1 % des Français étaient en excès de poids. Il a encore progressé de 76 % entre 1997 et 2012, soit plus vite encore qu’en Angleterre !

C’est la catastrophe. Déjà s’annonce une épidémie épouvantable de diabète, hypertension, arthrose (car le surpoids abîme les articulations), maladies cardio-vasculaires. 

Les changements qu’on oublie :

 

Qui se souvient qu’avant la Première Guerre mondiale, la durée hebdomadaire du travail était en moyenne de 54 heures ? La plupart des gens travaillaient à l’extérieur, circulaient à pied ou à cheval, accomplissaient des travaux de force sans l’aide d’aucune machine.

Abattre un arbre n’est pas facile aujourd’hui, mais c’était tout autre chose lorsqu’il fallait y aller à la hache et à la scie manuelle, débiter les troncs sur place, les charger à la main dans une charrette, puis aider le cheval à tirer ce lourd fardeau sur des chemins boueux et pleins d’ornières.

Les maisons n’avaient pas le chauffage central et il fallait fendre les bûches pour alimenter la cheminée, ou porter des seaux de charbon pour approvisionner le poêle. L’absence d’eau courante obligeait à aller tirer de l’eau au puits, ce qui n’était pas facile.

Le progrès technique et la baisse du temps de travail sont des bienfaits formidables pour l’humanité, mais qui ont malgré tout un inconvénient dont il faut avoir conscience.

 

PARIS – Une étude publiée en 2016 dans The Lancet révèle que les personnes en surpoids perdent en moyenne un an d’espérance de vie, un lourd tribut qui s’accroît avec les kilos en trop et peut atteindre dix ans en cas d’obésité sévère.

 

L’obésité, dont le nombre de cas a doublé depuis 1980, est devenu un fléau mondial. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime à 1,3 milliard le nombre d’adultes en surpoids dans le monde et à 600 millions le nombre d’obèses. 39% des adultes (18 ans et plus) sont en surpoids et 13% sont obèses.

La plupart d’entre nous sont forcés de bouger et nous devons donc faire l’effort conscient de trouver des occasions pour compenser cet état de fait.

Si nous profitons uniquement du progrès technique pour éviter toutes les tâches physiques pénibles et en faire de moins en moins sans remplacer ces efforts par quoi que ce soit d’autre, alors de graves problèmes métaboliques se produisent : surpoids, obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, arthrose et, très probablement, impuissance (chez les hommes), angoisse et dépression.

 

Le cerveau vieillit 10 ans plus vite en cas d’obésité ou de surpoids.

 

Réduire ses apports caloriques

Pour toutes ces raisons, il faut manger aujourd’hui moins qu’autrefois. Nous n’avons plus besoin d’absorber autant de calories, car nous en brûlons beaucoup moins.

Mais manger moins n’est pas si facile. Il ne suffit pas de s’appuyer sur sa volonté pour parvenir à changer ses habitudes alimentaires.

La solution est de changer notre mode de vie par un changement de nos habitudes alimentaires, faire des exercices physiques et se traiter par la médecine alternative.

Conseil : pour savoir si vous êtes en surpoids ou obèse, faites ce teste sur : //www.imc.fr

 

Amicalement à vous !

Mustapha

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Êtes-vous un enfant DISTILBENE ?…une cause de la stérilité.

 

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  1. Top bien-être:

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Votre mère a-t-elle pris du distilbène pendant sa grossesse ? 

Pour répondre à cette question, nous devrons revenir 40 ans en arrière.

Prescrit contre les fausses couches à des millions de femmes dans le monde depuis 1948 à partir des USA.

D’abord prescrit par des médecins en 1938 aux femmes qui subissaient des avortements spontanés à répétition ou des accouchements prématurés.

Qu’est ce que le distilbène ?

Le distilbène  est le nom d’une molécule de diéthylstilboestrol, une hormone de synthèse dérivée des œstrogènes. Il a été donné en France des années 40 jusqu’à 1977 à des femmes enceintes pour éviter les accouchements prématurés et les fausses-couches.

A cette époque, personne ne savait les effets néfastes que va donner ce traitement. Mais le médicament avait donné plus au moins de bons résultats.

Les séquelles de ce traitement n’ont apparu que lorsque ces enfants née de ce traitement avait atteint l’âge de la procréation.

L’âge de procréer, pour ces enfants, se situe en majeure partie entre 1975 et 2015 : les problèmes génitaux ainsi que les problèmes de stérilité posés par ces enfants devenus adultes représentent un authentique problème de santé publique.

Durant la colonisation française, il a d’abord été introduit en premier lieu dans les départements d’Algérie, sans connaitre les statistiques jusqu’a présent.

En France, plus de 200 000 femmes enceintes ont reçu du Distilbène (D.E.S.) entre 1948 et 1977, pendant leur grossesse. Les derniers enfants issus de ces mères ont environ quarante ans aujourd’hui en 2016.

Quant aux mères ayant reçu le traitement hormonal, elles sont plus exposées que d’autres à avoir un cancer du sein, de l’utérus ou des ovaires comme leur fille ayant reçu le DES pendant leur vie embryonnaire.

Les risques chez les filles nées de mère ayant pris du distilbène :

  • cancer du vagin et du col de l’utérus.
  • problèmes pour avoir des enfants. Cause : Atteintes de l’appareil génital.

D’après une enquête, le risque de cancer du sein est multiplié par deux pour les 80 000 « filles D.E.S. » exposées in utero en France,

Publié sur : http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/distilbene-des-effets-deleteres-sur-trois-generations-ou-plus-01-12-2014-1885972_57.php

Chez Les garçons nés de ces mères ayant pris du distilbène :

  • problèmes génitaux et urinaires : cas de sténose de l’urètre, des kystes de l’épididyme, des malformations de l’urètre (hypospade), des testicules non descendus (cryptorchidie), et des cas d’hypotrophie testiculaire ainsi qu’une diminution de la qualité du sperme (oligospermie) et risque de cancer des testicules.

 

Le distilbène a été interdit aux femmes enceintes aux Etats-Unis en 1971 et Ce n’est qu’en 1977 que cette même décision a été prise en France.

En Europe, l’Angleterre interdit le DES en 1973, la Belgique et les Pays-Bas en 1975, l’Irlande en 1976.

Procès en France

En 1991, deux « filles DES » atteintes d’un adénocarcinome à cellules claires (ACC) du vagin ou du col utérin engagent une action judiciaire en responsabilité civile contre le laboratoire pharmaceutique UCB Pharma qui a commercialisé ce produit en France le diéthylstilboestrol sous l’appellation Distilbène (interdit en France depuis 1977). Mais elles ont perdu le procès.

* En octobre 2006, le Tribunal de grande instance de Nanterre a condamné le laboratoire UCB Pharma à verser 334 000 € d’indemnités à la famille d’une femme de 33 ans décédée d’un cancer à cause de ce médicament pris par sa mère, pendant que l’enfant était au 1er trimestre de sa vie embryonnaire.

Pour plus d’infos visitez : https://fr.wikipedia.org/wiki/Di%C3%A9thylstilbestrol

Info : Le Distilbène, qui n’a plus jamais été prescrit chez la femme enceinte dans les pays développés depuis 1983, est encore prescrit aux patients ayant des métastases de cancer de la prostate.

La conclusion est simple : pendant le premier trimestre de la grossesse et dans les 6 mois au moins précédents la conception, aucun médicament ne devrait être consommé sauf nécessité absolue liée à la maladie de la mère.

Aujourd’hui aussi, cela devient inquiétant, de nouveaux médicaments sont testés chez l’humain (transformé en cobaye) avec curieusement le feu vert des comités d’éthique.

*N’est il pas sensé, aujourd’hui, de se traiter par des plantes qui peuvent donner le même traitement et sans effets secondaires !

Amicalement à vous !

Mustapha

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Le danger des médicaments anti-cholestérol… (Statines).

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Si vous êtes entré récemment dans le cabinet d’un médecin pour lui parler de votre santé cardiaque ou de votre cholestérol, il est très probable que vous en êtes sorti avec :

  • Un sentiment de culpabilité d’avoir « trop » de cholestérol,
  • Une ordonnance pour des médicaments à base de statines (comme le Tahor, le Crestor, l’Esilor, le Zocor etc.).

L’industrie pharmaceutique et les autorités de santé publique, retiennent seulement que :

  • L’athérosclérose est due à une accumulation de cholestérol dans les parois artérielles,
  • Qu’il faut doser le cholestérol total,
  • Et le faire baisser s’il est élevé.

Trois arguments fallacieux qui vont permettre de vendre un des médicaments les plus rentables de l’histoire : les statines.

Un simple chiffre résume toute l’affaire : l’anti-cholestérol Tahor a rapporté à lui seul 130 milliards de dollars en 1997.

le cholestérol est un composant vital des membranes cellulaires qui joue un rôle fondamental :

  • Dans leur stabilité
  • Dans leur fluidité.

Ainsi, faire baisser le cholestérol peut altérer les capacités de la plupart des fonctions des membranes cellulaires, que ce soit le transport de nutriments ou la communication entre les organes.

Neurotransmetteurs du cerveau qui nous permettent d’être attentifs et de mémorisation.

De même, il aide la quantité de récepteurs à l’insuline capables de bien fonctionner.

Le cholestérol est indispensable pour la vitamine D 

Le cholestérol est indispensable pour le coenzyme Q 10 (un puissant antioxydant). Sa baisse est un facteur de raccourcissement de la longévité.

Le cholestérol est indispensable pour la DHEA, dont le le Pr Etienne-Emile Beaulieu a montré qu’elle était une hormone anti-âge.

Les effets secondaires des médicaments anti-cholesterol tel que les statines :

  • augmentent les risques de diabète.
  • un facteur de risque cardiovasculaire et d’immunodépression.
  • vieillissement accéléré et même de cancers.
  • augmente le risque d’AVC hémorragique.
  • douleurs musculaires et ligamentaires.
  • impuissance masculine.
  • problèmes de mémoire (pertes de mémoire).

 

Note. Au Japon et en Europe, on prescrit maintenant de plus en plus souvent de la CoQ10 simultanément avec des statines (pour abaisser les lipides sanguins).

si vous prenez des médicaments contre le cholestérol (statines), pensez à prendre de la coenzymeQ10 pour augmenter votre énergie cellulaire, renforcer vos tissus musculaires (en particulier votre cœur), et lutter contre les pertes de mémoire.

Bon à savoir :

selon la majorité des études, les médicaments contre le cholestérol (fibrates, statines) font baisser le taux de cholestérol sanguin, mais ils ne réduisent pas la mortalité coronaire.

Par contre, réduire le taux de cholestérol pose des problèmes bien réels à l’organisme. Le cholestérol est une molécule essentielle qui entre dans la composition des parois des cellules.

Amicalement à vous !

Mustapha

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  • « posologies des plantes médicinales d’Algérie» (deuxième partie)
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Dépistage du cancer du sein : alerte rouge

 

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Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme, avec 42 000 nouveaux cas chaque année en France.

Tous les ans, en octobre, des milliers de personnes se mobilisent pour inciter au dépistage du cancer du sein, dont 11 900 femmes meurent en France chaque année.

Leur mot d’ordre : toutes les femmes de 50 à 74 ans sont invitées à se faire dépister tous les deux ans.

Voilà comment une idée se greffe dans l’inconscient collectif : la mammographie « sauve des vies ».

Tout cela serait formidable si ce n’était pas…faux.

Vous allez voir que les données scientifiques disent rigoureusement le contraire.

La vérité sur la mammographie

 

on sait bien qu’il s’agit d’une telle contradiction avec l’opinion dominante que vous êtes peut-être en train de vous dire : « Impossible ! Ça se saurait si le dépistage était dangereux… ».

selon les résultats d’une étude publiée dans le prestigieux JAMA (Journal of American Medical Association)

Cette étude date de novembre 2015, elle a été conduite par l’équipe du Pr Richard Wilson et des chercheurs de la plus prestigieuse université du monde, celle de Harvard, et porte sur…16 millions de femmes examinées pendant plus de 10 ans. Autant dire qu’il s’agit là de conditions de recherche d’une qualité et d’un sérieux hors du commun.

Ses conclusions ? Là-encore, certaines personnes les ont qualifiées de « choquantes ».

on peut les résumer d’une phrase :

La mammographie ne fait pas baisser le risque de décès par cancer du sein !

Et il y a autre chose…encore plus grave.

Deux autres tests indispensables :

 

Pour les chercheurs suédois  du centre indépendant Cochrane, le rapport bénéfices/risques du dépistage organisé est aujourd’hui « très défavorable ». Ce dernier entraîne de nombreux traitements médicaux inutiles :

« Sur 2000 femmes examinées durant 10 ans10 femmes en bonne santé deviendront, à cause de ce dépistage, des patientes cancéreuses et seront traitées inutilement ».

« Ces femmes perdront une partie ou la totalité de leur sein et elles recevront souvent une radiothérapie et parfois une chimiothérapie ». 

« En outre, environ 200 femmes en bonne santé seront victimes d’une fausse alerte. Le stress psychologique de l’attente du résultat pour savoir si elles ont vraiment un cancer et celui de la suite des soins, peut être sévère ».

Malgré cela, une croyance beaucoup trop répandue empêche de nombreuses personnes de regarder la vérité en face.

Bon à savoir :

Facteurs de risques :

  • deux tiers de ces cancers surviennent effectivement après 50 ans.
  • Hérédité
  • l’absence de grossesse, une puberté précoce ou une ménopause tardive sont des circonstances favorisantes de cancer du sein.
  • le mode de vie occidental,
  • une alimentation riche en graisses animales et faible en fibres, en fruits et légumes
  • l’obésité augmente les taux d’œstrogène et donc le risque de cancer du sein.

A l’inverse, certains facteurs limitant le risque de cancer du sein sont parfois avancés comme une vie active, l’allaitement maternel ou un régime équilibré.

Détection précoce

La plupart des tumeurs cancéreuses sont détectées par les femmes elles-mêmes. Ainsi, il est important pour vous de connaître les changements naturels de votre poitrine au cours de votre cycle menstruel. Prêtez attention à vos seins, lorsque vous changez de vêtements ou lorsque vous prenez un bain… Attention, ne sombrez pas dans une angoisse perpétuelle, vous ne devez pas obligatoirement surveiller vos seins tous les jours. Procédez cependant régulièrement à des palpations, et si vous êtes anxieuse suite à un changement constaté, référez-en à votre médecin sans attendre.

Quels sont les symptômes à surveiller ?

La première chose à surveiller est l’apparition de grosseurs dans le sein. Dans la majorité des cas, ces grosseurs sont bénignes et ne constituent pas une tumeur, mais un kyste ou un adénome fibreux. Cependant, par mesure de prudence, contactez votre médecin dès l’apparition de ces anomalies.

Les autres indices à surveiller sont :

  • Un changement de taille et de forme des seins,
  • L’apparition d’une peau d’orange, d’une rondeur,
  • Des anomalies de la peau, telles que des fossettes, une ride à sa surface.
  • Le mamelon devient rentrant,
  • Une petite boule, un nodule, palpable à partir de 1 cm, qui n’était pas là auparavant,
  • Une grosseur ou une enflure sous l’aisselle
  • Un écoulement par le mamelon ou une rougeur sur le mamelon ; ces deux derniers cas sont très rares.

La douleur n’est pas, en soi, un symptôme du cancer du sein. En effet, de nombreuses femmes ressentent des douleurs aux seins à l’approche de leurs périodes.

Si l’examen de vos seins vous inquiète suite à la découverte de symptômes anormaux, contactez sans attendre votre médecin. Il ne s’agit que très rarement d’un cancer, mais si c’est le cas : plus sa prise en charge sera précoce et plus le traitement sera efficace.

Voici quelques aliments qui aident en prévention du cancer du sein.

·        Les graines de lin et de sésame réduisent le taux d’œstrogène.

·         le jus de grenadine.

·        prendre du sélénium en prévention du cancer, utilisez un produit de haute qualité à dose réduite (par exemple 200 microgrammes par jour.

·        vous devez éviter tous les aliments qui peuvent augmenter les niveaux d’œstrogène(un hormone), dont les plantes incluent l’actée à grappes bleu, l’actée à grappes noires, dong quai, le houblon, la lavande, réglisse, feuille d’agripaume, racine de rhodiola rose, fleur de trèfle rouge, les baies du palmier nain et l’huile de théier.

·        Le pissenlit (racine), Chardon-Marie (graines), bardane aident le foie à décomposer les hormones pour qu’elles soient excrétées du corps une fois leur travail accompli.

Amicalement à vous !

Mustapha

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Les dangers de la cosmétique…

rouge à lèvre
rouge à lèvre

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  1. Top bien-être:

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Nous utilisons quotidiennement tous des produits que se soit des shampoings, déodorants et des rouges à lèvre pour les femmes. Mais généralement, on ne sait pas ce qu’il y’a dedans.les étiquettes ne sont pas toujours lisibles et cachent souvent des choses que nous ne voyons pas.

Mais la majorité des ces produits nous causes des maladies des plus petits bobos aux plus grandes maladies chroniques tel que le cancer.

Par exemple, les shampooings attaquent notre cuir chevelu et là nous allons perdre nos beaux cheveux à la longue.

Attention : plus le shampooing a de la mousse, plus c’est nocif.

Les déodorants contiennent des composants qui nous causes des irritations et même des maladies de la peau et encore.

En ce qui concerne les rouges à lèvre, il y’a des composants dans leurs constituant tel que le plomb qui peuvent nuire à vos lèvres.

Afin de vous convaincre, je vous demande juste de faire ce petit test chez vous.

Un teste pour savoir si votre rouge à lèvre contient du plomb ou non.

Pour se faire vous avez juste besoin de:

  • une feuille d’aluminium
  • un coton
  • votre rouge à lèvre.

Étaler un peu de votre rouge à lèvre sur la feuille d’aluminium puis frotter efficacement avec le coton ; si le coton devient noir, alors votre rouge à lèvre possède du plomb.

Mais comment cette méthode marche ?

Tout simplement le plomb « attaque » l’aluminium contenu dans le papier d’aluminium, créant un complexe plomb-aluminium qui vient se fixer sur les fibres du coton ce qui va donner cette couleur noire que l’on observe sur le coton.

Mais on ne peu pas incriminer tous ces produits, il y’a bien des firmes honnêtes.

La bonne solution est d’être conscient de tous ces produits qui se vendent sur le marché et bien lire les étiquettes ; et dieu encore J !

J’aimerais bien savoir votre opinion sur le sujet, svp !

Amicalement à vous !

Mustapha

Svp, découvrez mes livres pour aller plus loin :

  • « posologies des plantes médicinales d’Algérie » (première partie)
  • « posologies des plantes médicinales d’Algérie» (deuxième partie)
  • Les plantes médicinales du Sahara

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Note : pour tout  achat d’un de mes les ou l’ensemble des mes livres, svp, veuillez me contacter via mon email : tipasa334@gmail.com

http://lesplantesmedicinalesdusahara.blogspot.com/2018/05/tops-des-traitements-naturels-pour-la.html